mercredi 4 décembre 2019

AGATA tome 2

Olivier Berlion vient de terminer le second tome de la série AGATA, et nous dévoile dès aujourd'hui cette superbe planche qui donne envie d'être déjà en avril pour parcourir cet album qui s'annonce une fois de plus magnifique :


samedi 12 octobre 2019

HOMMAGE A PHILIPPE TOME

Il y a une semaine, nous apprenions le décès de Philippe Tome, scénariste génial de quelques uns des meilleurs "Spirou et Fantasio", du "Petit Spirou", de "Soda", de "Sur la route de Selma" ou encore de "Berceuse Assassine", pour ne citer que ces quelques titres.
Les hommages de ses collègues auteurs ont évidemment été nombreux. Voici le magnifique et vibrant dessin réalisé par Olivier Berlion pour cette triste occasion : 


lundi 30 septembre 2019

AFFICHE POUR LE FESTIVAL BD D'AVIGNON

Olivier Berlion a réalisé cette superbe affiche pour le festival BD d'Avignon qui aura lieu du 30 novembre au 1er décembre :


lundi 19 août 2019

NOUVELLE PAGE : LE CADET DES SOUPETARD

A l'occasion de la parution du premier tome de l'intégrale du CADET DES SOUPETARD, j'ouvre une nouvelle page consacrée à cette sympathique série
Pour bien commencer, je vous propose d'admirer quelques dessins de Soupetard, bien sûr sous les pinceaux d'Olivier Berlion.


samedi 15 juin 2019

AGATA : L'AVIS DE SCENEARIO.COM

Olivier Berlion est un auteur qui m'avait beaucoup surpris avec sa série, Le Juge (3 tomes, chez Dargaud).
Chez Glénat, après L'Art du Crime, avec Omeyer, il revient en solo et nous entraine en pleine prohibition, le grand banditisme où nous croisons des noms connus comme Lucky Luciano, Meyer Lanskin, Dutch Schultz ou encore Al Capone.

Berlion nous raconte l'histoire de cette jeune immigrée polonaise qui pense pouvoir avoir une vie tranquille dans son nouveau pays, mais qui se retrouve au centre des guerres entre mafieux.
Avec ce récit, l'auteur nous parle de cette période de la prohibition et des luttes de pouvoirs entre mafieux. Ce sujet et cette période a toujours fasciné les romanciers, scénaristes ou réalisateurs. Outre les personnalités historiques, Berlion nous présente des "petites gens" qui font partie de ce récit. Il y a le l'oncle et le cousin d'Agata, mais aussi James, celui qui loge Agata au dessus de son bar et qui lui a proposé un emploi. Nous découvrons que ce James a quelques secrets, il semble aussi avoir des liens avec la mafia.

Ce premier tome se lit avec passion et nous n'avons pas le temps de remarquer que cet album fait 88 pages. Nous aurions, même, aimé avoir la suite en main. C'est bien écrit, bien documenté et le récit nous surprend.

Graphiquement, Berlon fait du très bon boulot. Son style se remarque toujours autant, efficace et plein de rythme. Les reconstructions sont parfaites, nous avons vraiment l'tmpression de nous retrouver dans les années 1930. Les couleurs sont tout aussi belles.


Une série qui démarre très fort, qui réserve bien des surprises et donne envie du suivre l'histoire. 
Berlion est un grand auteur et il le montre encore avec ce nouvel album que je vous invite à découvrir.

jeudi 13 juin 2019

L'ART DU CRIME TOME 9 : L'AVIS DE SCENEARIO.COM


Ce dernier tome clôt en beauté cette série conçue par Berlion et Omeyer.

Cet ultime opus apporte toutes les réponses aux questions que nous avons pu nous poser tout au long des autres tomes. La vérité se trouve dans ces pages. Ce dernier récit est bien écrit et monté, le suspense fonctionne jusqu'au bout.
Quand on y pense, les auteurs ont réussi leur coup en donnant une réelle cohérence à cette aventure. Rien n'était anodin.
Rudi a fait ressortir les ambiances des années 1970. Nous avons vraiment l'impression d'être dans un film ou un téléfilm de l'époque.

Olivier Berlion, aidé de Christian Favrelle aux couleurs, fait un travail remarquable. Les planches sont efficaces et assurent jusqu'au bout. Tout est parfait.

Si vous n'avez pas encore lu L'Art du Crime, c'est le moment ou jamais. Le final vaut le détour.

dimanche 9 juin 2019

REEDITION : LIE-DE-VIN

Alors que "Le cadet des Soupetards" et "La guerre des boutons" sortent dans quelques jours en intégrales, les éditions Dargaud préparent aussi la réédition de Lie-De-Vin avec une nouvelle couverture : 


vendredi 3 mai 2019

INTEGRALES : LA GUERRE DES BOUTONS & LE CADET DES SOUPETARD tome 1

Deux intégrales vont prochainement voir le jour aux éditions Dargaud : "La guerre des boutons", regroupant les deux tomes de la série, et "Le cadet des Soupetard" tome 1, qui regroupe les 4 premiers tomes de la série.

Les deux albums sortiront le 16 juin 2019 !

 

samedi 16 mars 2019

INTERVIEW PARUE LE SITE ACTUABD LE 16 MARS 2019

On continue avec les interviews sur AGATA, cette fois avec cet article paru sur le site Actuabd.

mardi 5 mars 2019

INTERVIEW PARUE SUR LE SITE BRANCHE CULTURE

Encore une nouvelle interview concernant AGATA, cette fois-ci poour le site Branché Culture" : 

vendredi 1 mars 2019

ARTICLE POUR "L'ART DU CRIME - RUDI" PARU SUR LIGNE CLAIRE INFO

L’Art du crime T9, le dénouement avec Berlion et Omeyer

Un tome 9 qui met un terme à une série ambitieuse, L’Art du crime par Olivier Berlion et Marc Omeyer. On découvre le dénouement de cette intrigue machiavélique basée sur des crimes qui ont les arts pour thème. « J’ai réécrit tout ce tome 9 avec Omeyer, lisible seul mais il vaut mieux avoir lu tous les albums. » Une série exigeante, qui a un peu perdu les lecteurs selon Berlion « par sa longueur ». Reste qu’on n’est pas déçu par cet épilogue qui reprend les grandes lignes des épisodes précédents. On se souvient que L’Art du crime raconte des histoires hors normes indépendantes, noires, mais qui pourraient bien avoir un lien. Lequel ? Le narrateur, les faits, les époques ? La réponse dans ce tome 9.
1973, Rudi veut rendre justice à Curtis, l’auteur de la BD inachevée. Il est en prison mais se souvient comment il a été pris, dès son enfance, dans cet engrenage mortel. Nora, la fille de Curtis, vient voir Rudi au parloir. Il lui annonce qu’il va être la vedette d’un soir d’une émission de télévision, Une heure au cœur du crime. Rudi présente à Nora tout les titres qu’il a écrit qu’il rassemble dans L’Art du crime. A la base, ce sont des idées de Curtis dont il a retrouvé les traces dans le coffre d’Art Blumenfeld. Rudi a passé sa vie à chercher les dernières planches de la BD. Reviennent à la surface ses souvenirs, la mort de Casey qui battait sa mère. L’émission va-t-elle pouvoir faire éclater la vérité ?
La dernière chance de Rudi et un album qui à l’audiovisuel pour cadre. Télé réalité, coups de théâtre, du sensationnel, Berlion et Omeyer ont bien fait monter le suspense. Les faits vont trouver leurs solutions, les pièces du puzzle s’emboitent, la BD sans fin en aura une. Il fallait arriver à mettre en musique cette saga originale. Un belle exercice de style passionnant et qu’il fera bon relire depuis le début pour ceux que la série a accrochée. Berlion est au dessin sur ce tome 9.

jeudi 28 février 2019

INTERVIEW DU SITE AGE-BD.COM

Une toute nouvelle interview publiée ce jour sur le site age-bd.com est disponible en cliquant sur la couverture : 

mercredi 27 février 2019

CRITIQUE POUR "L'ART DU CRIME" tome 9 : "RUDI", PARUE SUR LE SITE SANCTUARY

POUR QUI SONNE LE GLAS

En neuf tomes, les scénaristes ont tissé patiemment leur toile avant d'arriver au dénouement final.
Parfois, un récit s'éloigne du personnage central, Curtis Lowel, auteur de BD mort trop jeune, de manière tragique et injuste, mais par petites touches, sa vie nous est racontée dans les tomes 1, 5 et 9.
Changeant d'époque et de décors, les scénaristes ont parfois changer de dessinateur.
Pour ce dernier tome, Olivier Berlion est à la fois coscénariste et dessinateur.
Son trait noir, rageur, urbain fait mouche pour monter la tension case après case. On sait très tôt que l'émission à laquelle le tueur, Rudi, a accepté de participer va être le théâtre de quelques chose, sans trop savoir vraiment quoi.
A la fin du compte c'est une double libération, celle du tueur qui réhabilite pleinement l'auteur de BD qu'il vénère et de sa fille, qui peut reprendre le flambeau.
Des histoires inspirées pour chacun des tomes ont su mêler l'art et le crime, la passion jusqu'à la mort.
En filigrane, les personnages du tueur et de l'auteur BD nous emportent dans leur vie dramatique, qui enchaîne les rendez-vous manqués et la malchance.
Une série impressionnante du fait de sa longueur et de sa cohérence.

vendredi 8 février 2019

AGATA : AJOUT D'UN AUTRE ROUGH

On continue l'exposition des roughs avec cette nouvelle page visible dans son intégralité sur la nouvelle rubrique consacrée à Agata :


mercredi 30 janvier 2019

AGATA : DEUX ROUGH SUPPLEMENTAIRES

Le tome 1 de la nouvelle série "AGATA" est prévu depuis quelques semaines. Afin de prolonger le plaisir, je vous propose aujourd'hui deux rough supplémentaires issus de cet album :


Cliquez sur l'image pour accéder à la page "Agata".

mercredi 9 janvier 2019

AGATA : QUELQUES ROUGHS

C'est aujourd'hui que paraît AGATA. En attendant que les librairies ouvrent leurs portes, cliquez sur l'image ci-dessous pour accéder à trois pages de roughs issues de l'album : 


mardi 8 janvier 2019

INTERVIEW SUR LE SITE LIGNE CLAIRE INFO

LIGNE CLAIRE INFO a publié hier cet entretien très intéressant d'Olivier Berlion à l'occasion de la sortie imminente d'Agata.

Interview : Olivier Berlion sur les traces de Lucky Luciano avec une nouvelle série, Agata

Olivier Berlion. Photo JLT ®
Olivier Berlion, on avait évoqué déjà ce travail sur Lucky Luciano lors d’une rencontre à la Comédie du Livre à Montpellier. Pourquoi ce choix, celui d’un personnage assez atypique ?
Au départ, je voulais faire un scénario sur les années 30. Sur la Prohibition et j’étais parti sur l’histoire d’une femme, Agata. Cela avançait moyennement. A un moment j’ai envisagé de lui faire croiser la route de Luciano.
Ce qui n’était pas l’option du début.
Non, c’était une femme qui menait sa vie, s’émancipait, immigrait pour une question d’avortement passible de prison à l’époque en Pologne. Ce qui est revenu aujourd’hui d’ailleurs. Les femmes étaient emprisonnées, patientes ou avorteuses. Agata finissait aux USA et elle rencontrait Luciano. Je ne savais pas trop quoi encore lui donner comme destin. Ce qui a été le déclic, en lisant la biographie de Luciano, c’est qu’il disait que s’il avait « réussi » dans les affaires, c’est qu’il ne s’était jamais laissé freiner par une relation amoureuse. En 36, il prend trente ans de prison et je me suis dit qu’il avait quand même rencontré avant au moins une femme à laquelle il aurait pu s’attacher.
Mais pour cela, il fallait passer par des chemins tortueux. Il y a comme base l’aventure mafieuse de Luciano. Vous avez romancé ou pas ?
Non tout est vrai pour Luciano. Il y a deux destinées parallèles qui se croisent. Elles sont à l’opposée. Alors que va-t-il se passer ?
Combien d’albums au total ? Le premier est costaud.
Quatre albums et 74 pages pour le premier.
On est dans les années trente, les grandes vagues d’immigration venues d’Europe, la Récession, la Maffia, et Lucky Luciano qui prend son envol. Pourquoi le surnom de Lucky ?
C’est un peu long en fait. Il est passé plusieurs fois près de la mort en particulier dans l’épisode que je raconte dans l’album avec Maranzano qui le torture et l’épargne. Il le dit dans ses mémoires mais personne ne le savait. Il est revenu vivant d’une balade avec ses ennemis mortels. Ce qui est rare. Donc le surnom de Lucky.
C’est un type qui a de la suite dans les idées. Il veut monter son empire, jouer la carte politique.
Je le prends à mi-chemin. Luciano a démarré au début des années 20. Il rentre au service de gros mafieux. Il y a deux parrains à New-York, Maranzano et Masséria. La guerre va durer trois ans et ça se finit par des règlements de compte que Luciano suscite. Dont la mort de Masséria pour lequel il travaille. Luciano travaille avec tout le monde et les histoires de maffia le fatigue. Il juge le coincent dépassé.
La documentation existe ou c’est un problème ?
Non, c’est assez facile. Il y a les mémoires de Luciano parues au milieu des années 70. Cela a été une bombe. Après il faut les prendre avec réserve car si on l’écoute c’est un saint. Mais la documentation fiable existe bien sûr.
Il y a une part de romanesque dans Agata ?
Pas trop. J’essaye de respecter la vérité historique comme avec Dutch, un mafieux irrespectueux que l’on voit dans le tome 1. Dustin Hoffman l’a joué.
On découvre aussi la rébellion des cimentiers polonais de New-York contre la maffia.
C’est une histoire que j’ai lu dans un bouquin. Luciano comprend quand la Prohibition va s’arrêter qu’il faut se diversifier. Donc il se met dans le légal mais avec des méthodes de mafieux. On devait construire la digue du New Jersey et le transport du ciment se pose. Mais une entreprise polonaise a refusé de se laisser racketter. C’est ce qui m’a permis de raccorder les fils avec Agata. Ils ont enlevé le fils du patron qui s’est couché devant les truands.
On ne dévoile pas le suspense mais Agata, par hasard, va se retrouver dans le circuit Luciano.
Oui, c’est ça.
Les influences cinématographiques ?
Il était une fois en Amérique, Cotton Club, des séries bien sûr.
Votre travail est traditionnel, l’écriture totale dès le départ, la couleur directe ?
Tout à fait, je travaille totalement en traditionnel. En fait j’avais écrit cette histoire que je n’aurais pas dû dessiner. Et puis ça ne s’est pas fait et j’ai repris le flambeau. Ce qui m’a frappé le plus c’est le politique et la maffia qui sont main dans la main. Cela remonte loin avec truquage des élections ou autre. Pour la couleur, j’ai changé et travaillé aux encres acryliques. Tout a été dessiné en noir et blanc. J’ai mis longtemps et recommencé les trente premières pages. Le prochain paraîtra dans un peu plus d’un an.
Agata, c’est une histoire d’amour ou un polar ?
Non, c’est une rencontre et un destin. On découvrira son passé. C’était pour moi l’occasion de raconter comment une femme sort du carcan patriarcal et va vivre pleinement.
Revenons sur L’Art du crime dont c’est la clôture. On va tout savoir ?
Oui, j’espère. Donc avec Marc on a tout réécrit cet été. Après il vaudra mieux avoir lu tous les albums depuis le début. Quand on est auteur il y a des évidences mais le plus dur en BD c’est que des informations non formalisées soient saisies par le lecteur. Que le texte ne cache pas une info importante.
Comment a marché la série ?
Moyennement mais je ne sais pas pourquoi. Je dirais que les gens ont été perdus par le double enjeu. Un peu long ? Le tome 1 était assez complexe.
Tony Corso rien de plus ?
Non. C’est arrêté.
Et sinon quoi d’autre ?
J’ai autre chose mais je ne peux en dire plus. Ce serait dans la lignée de Agata mais cette fois autour de la French Connection. Je le dessinerai seulement.

lundi 7 janvier 2019

AGATA : NOUVELLES RECHERCHES DE COUVERTURES

Aujourd'hui, deux jours avant la sortie de l'album, je vous propose deux recherches de couvertures pour le tome 1 de AGATA, dont une illustration finalisée.
Vous pouvez accéder à la page dédiée à la série en cliquant sur l'aperçu ci-dessous :


vendredi 4 janvier 2019

A PARAÎTRE : AGATA

Mercredi 9 janvier va paraître aux éditions Glénat le premier tome de la nouvelle série d'Olivier Berlion, prévue en 4 tomes : "AGATA : LE SYNDICAT DU CRIME".
Si les premières pages de l'album sont déjà visibles sur le site de Glénat, vous allez avoir l'occasion de découvrir sur ce blog les coulisses de l'album, en vous rendant sur la page AGATA spécialement créée pour l'occasion.
Vous y trouverez, au fil des jours et des semaines, des recherches de couvertures, des crayonnés, des recherches de personnages, ..., bref, tous les dessous de la création de la série.

Par ailleurs, je vous rappelle que la parution du dernier tome de "L'art du crime" est prévue pour le 13 février.





Voilà de quoi bien commencer l'année, non ?